Date de création : 27.07.2014
Dernière mise à jour :
26.10.2019
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bonne fete florence
Par Anonyme, le 01.12.2025
poignant cet écrit si véridique. je ressent la douleur dans l'atrocité. bravo http://chatala rose.centerblo g.
Par Bertino le Pascalo, le 02.12.2023
bonjour je suis ringo.star41@o range.fr mon site paradis d'espace il y'a près de 5 années que je ne mettait pa
Par Anonyme, le 25.04.2022
j'aime ce petit texte, comme entrée en matière,
la moitié de corinne, y manie bien les vers,
et donc pour cé
Par Patrick KOERIN, le 17.04.2022
j'aime ce petit texte comme entrée en matière,
la moitié de corinne, y manie bien les vers,
et donc pour cél
Par Anonyme, le 17.04.2022
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RechercherLa cuisinière est une arsouille
Il faut qu'elle arrête absolument la bistouille
Depuis qu'elle bafouille, par écrit une recette elle magouille
Dans sa petite tête, maintenant, se gribouille
Un repas avec de la citrouille
Elle pense aussi aux cuisses de grenouilles
Quelle embrouille ! Mal, elle se débrouille
Rien de tout cela dans le frigo, sauf de l'andouille
Ouf ! Pas longtemps, elle reste bredouille
Dans l'eau, écoutez les nouilles qui barbouillent
Elles rigolent bien lorsque les bulles les chatouillent
Près des crépitements de la pauvre andouille
Enfin ! La cuisinière a rempli la bouille
D'un repas avec aussi de la ratatouille
En boite de conserve sans antirouille
Notre « cordon-bleu » aime bien faire la tambouille
Mais il faut qu'elle arrête absolument la bistouille
De goûter ses plats, j'ai la trouille !
Véronique – le 20 février 2015
Merci au dessinateur pour ce superbe dessin et l'humour
À trop parler, un moucheron est entré dans ma bouche
De justesse, le frein de ma langue a évité l’escarmouche
Au fond de ma gorge il est resté collé
Après de multiples essais, impossible de le crachoter
Quel cauchemar ! Il se décolle et déambule sur ma seconde molaire
« Beurk ! » Il a le mal de mer, il s’écrit « de l’air par pitié, de l’air ! »
Toutes mes dents sont entartrées comme celles d’une vieille sorcière
Impossible de se libérer, de rester dans ma bouche est un calvaire !
Par le larynx, ce pauvre insecte commence sa descente aux enfers !
Arrivé à l’estomac, un de mes puissants rots essaye de l’extraire !
Toujours présent, j’ai enfin trouvé une idée pour m'en débarrasser
Un pet direct dans les wc !
Véronique, le 11/05/2016
Merci à l'auteur pour l'image sympathique
J’ai perdue une chaussette d’hiver
Où est-elle ? Là est le mystère
Elle ne veut pas se faire voir
Dans le tiroir il fait tout noir
Chaussettes d’hiver, socquettes d’été
Une chaussette a perdu sa sœurette
Aller sors de ta cachette
Je viens de me laver les pieds
Véronique - 3 janvier 2013
Après m’avoir vu avec des verres double-foyer en loupe
Mon premier rendez-vous galant je loupe
Maintenant je comprends son entourloupe
Loin des yeux, loin du cœur, dans une chaloupe
Il se sauve en Guadeloupe
Véronique
Merci au dessinateur pour son humour (superbe !)
Les fourchettes, les cuillères, les assiettes :
laver celles qui sont sales
Les vitres : attendre, car eau de pluie les laveras
Le frigo : il faut être givré, vous arrêtez de le laver tous les jours !
L'aspirateur : il faut aspirer le bas, laid de son sol poussiéreux
Laver le sol : si vous êtes trop lessivée, reposez-vous 5 minutes
Le linge : s'il a pris un mauvais pli, après le repas, sage,
je vous aiderais,
et on fera bon « ménage à deux »
Et pour le lit : faire, défaire, autant ne pas le refaire
Véronique
Merci à l'auteur de ce beau dessin
* J’aime bien jouer avec les mots, par exemple je mets deux « l » à « abeille » « coccinelle » « hirondelle » et bien d’autres (la liste est trop longue), sinon elles ne pourront pas voler sans leurs deux ailes.
* Au mois d’août, j’ajoute un chapeau chinois sur le « u » du mois d’août, c’est essentiel pour se protéger du généreux soleil.
* J’ai une petite devinette : Où fait-on le baiser du coq ?*
Réponse en fin du post.
* Lorsque je ne connais pas l’orthographe d’un mot je mets son synonyme, je triche, ce n’est pas bien je le sais, chut ! il ne faut pas le répéter.
* Un de mes collègues a fêté son anniversaire au bureau un jour de pluie, je lui ai dis « tu es comme le temps aujourd’hui, tu es pluvieux ».
* « Les taules ondulées, les vaches aussi ».
*Réponse : Il suffit d’épeler le mot coq et vous avez la réponse.
Véronique
De temps en temps j’aspire comme un tapir, je suis un aspirateur
J’adore la poussière, mais le parquet en a horreur
Malgré tout ce labeur, le ménage je n’ai pas peur
Comme le loup affamé sur la piste d’une bergerie, je suis un sacré renifleur
Serpentant du sol au plafond, ma maîtresse de maison me promène partout
En pleine tornade, sous ma petite brosse j’aspire presque tout
Je suis très affamé comme le méchant loup dans la bergerie
On m’a donné un tuyau, il faut que je passe sous le lit
Dans la chambre, sous le sommier j’arrive petit à petit
Cachés derrière le ronflement de mon moteur, j’entends d’horribles cris
Après mon passage, plus aucun bruit, tout est propre à l’horizon
Je ne vous le cache pas, je viens de tuer un mouton*
J’ai vidé mon sac, coupable de meurtre par le parquet, je suis condamné à une peine de cinq ans de travaux forcés (fin de ma garantie)
* Mouton de poussière
Véronique – Le 14 mai 2013
Je suis une mégère, j’ai des coups de calcaire
Après mon mari, souvent je m’énerve
Comme moi, mon disjoncteur pète aussi les plombs
Rien ne va dans la maison
Heureusement mon époux est électricien
Il est au courant
pour tout réparer, c’est très bien
Le fer à repasser n’arrive plus à se plier à mes exigences
Il n’a plus ses vapeurs, mon mari le détartre en urgence
Tout vieux, allergique à la poussière est mon aspirateur
Je sais, encore lui !
Jamais contente, « aller du balai » je dis
Demain je le donne à un brocanteur ou à un ferrailleur, cela dépendra de mon humeur
Je suis une méchante mégère
Mon pauvre mari est ma bonne à tout faire
Lorsque la pluie tombe en crachin
C’est lui qui sort le chien
Pour le ménage, je lui hurle de s’en occuper
Pendant ce temps-là je regarde la télé
Je l’ai tellement fait travailler, qu’il est épuisé
Il est trop gentil, il me dit « le linge, je le repasserais »
Après avoir regardé mon feuilleton favori « les feux de l’amour »
Je vois le linge fripé qui est toujours dans la corbeille
Mon mari est parti se coucher, il a sommeil
Je le laisse se reposer, après le repassage, le jardin il faudra qui le labour
Je suis une cruelle mégère, je ne fais que crier après mon mari
J’aime bien lui faire peur, je lui dis « fait gaffes, j’ai affûtés les couteaux et planqué le fusil »
Aie, aie, aie, malgré cela mon pauvre époux reste à mes côtés
Je suis sa mégère qu’il n’a pas réussi à apprivoiser
Véronique – le 30 mai 2013
J’ai une nouvelle collègue, elle est toute jeunette
Du haut de ses sandalettes et de sa jupette, elle se la pète
Elle ne paraît pas nette avec ses chaudes chaussettes
Protégeant ses grosses et poilues gambettes
A peine installée, son regard est collé sur la pendulette
Le pire c’est qu’elle pète, cela fouette l’andouillette
J’ai le mal de l’air, je ne peux pas ouvrir les fenêtres
J’ai déjà trouvé son surnom « la nouvelle gazette »
Cette fausse blondinette se prend aussi pour une starlette
Au restaurant, elle a bu quatre verres d’anisette
Cela craint, elle est complètement pompette
Heureusement, son bureau lui sert de couchette
Cette personne est spéciale et peu discrète
Une vraie pipelette, elle me fait constamment la causette
Elle me demande « où sont les disquettes ? »
Maintenant je comprends pourquoi elle a été virée de la supérette
D’être avec cette collègue dans le même bureau cela m’inquiète
Je n’en peux plus, elle pue aussi la cigarette
En sa présence, mes prochains jours ne seront plus chouettes
Au fait ! Cette minette se nomme Jeannette
Véronique – le 9 septembre 2013
J'ai tout ce qu'il me faut dans mon sac à main
Un vide calepin pour mes rendez-vous coquins
Mon pauvre porte-monnaie enferme mon coffre-fort
Mon casse-croûte d'hier matin hume le roquefort
J'ai de belles surprises dans mon sac à main
De l'eau des toilettes imitant du parfum
Elle sent si fort, je m'en asperge dehors
Je vous promets, ce n'est pas du Dior
J'ai mes petits secrets dans mon sac à main
Du maquillage, du fond de teint, j'en ai tellement besoin
Sans oublier mon téléphone portable, pratique pour les jeux, c'est mon seul réconfort
Mon sac est vieux et usé, je le garde pour son confort
Il aime le chic comme un Lanvin mon sac à main
Mon miroir vide son sac, il me dit souvent « va chez le coiffeur, n'attend pas demain »
Vu ma tronche, je le comprends, il faut que je fasse un effort
Comme mon peigne, édentée, je n'ai plus besoin du dentifrice au fluor
Personne ne veut toucher à mon sac à main
Pourtant, sa couleur est or et cumin
Je les comprends, il fleure bon les saucisses de francfort
Je le garderai toujours mon sac à main, je suis sa « lady », gaga, je l'adore !
Véronique - le 2 octobre 2013